26e jour : Playa del Carmen
Mercredi matin, je me lève vers 10-11.heures La soirée a été un peu décevante tout de même, trop américaine à mon goût, j'hésite tout de même à prolonger mon séjour à Cancun d'un jour ou plus mais finalement la raison l'emporte et je décide de quitter la ville pour Playa del Carmen, ville côtière à une heure au Sud de Cancun. Albert, mon ami canadien décide de se joindre à moi.
Nous arrivons là-bas en début d'après midi, nous nous installons à l'auberge, puis nous allons à la plage qui est à quelques hectomètres... Finalement, PDC ressemble un peu à Cancun même si les plages sont légèrement moins bétonnées !
Une fois cinq heures passées, l'intensité des rayons de soleil faiblissant, nous décidons de flâner un peu en ville. Les rues sont assez commerçantes et tout de même un peu moins américanisées que la voisine Cancun.
Nous nous arrêtons alors dans un petit resto bon marché qui propose des tacos aux crevettes et poisson. Pas si mal au final ! Ensuite, nous rentrons à l'auberge, à 19h, c'est Happy Hour, c'est à dire conso gratuites jusqu'à 20 heures. C'est assez tôt pour un HH mais le but est évidemment commercial pour l'hostel. Albert et moi, nous prenons juste deux verres et souhaitons de toute façon rester raisonnables ce soir après les soirées de ces derniers jours. Le barman nous dit alors que contrairement à Cancun, les entrées en boîte sont gratuites et comme une majorité des personnes de l'auberge sort ce soir, nous nous joignons à eux en ayant de toute façon l'intention de rentrer tôt.
Nous nous rendons alors au Mandala, un club franchisé qui existe également à Cancun. La discothèque est pleine à craquer, c'est même pire que pour le springbreak... je perds alors mes camarades dans la cohue et je finis peu après par rentrer à l'hostel.
Albert me dira plus tard, que lui, a rejoint une partie des gens de l'auberge dans un pub du coin. Je crois qu'il n'a pas été aussi raisonnable que prévu et est rentré assez tard... Bref, après ces quelques jours, je commence à être fatigué de sortir sans cesse, et je crois que j'ai maintenant besoin de plus de calme et je décide alors de partir pour Tulum le lendemain matin. Encore une fois, Albert se joint à moi. De toute façon, il comptait se rendre au Belize comme moi, et comme nous avons bien sympathisé, il se réjouit de pouvoir me suivre dans mon périple puisque le sien est assez similaire.